Categorie : Histoires & Légendes

The Dog Days of Summer

 

Sirius, également appelée Alpha Canis Majoris (α Canis Majoris/α CMa) par la désignation de Bayer, est l’étoile principale de la constellation du Grand Chien. Vue de la Terre, Sirius est l’étoile la plus brillante du ciel (après le Soleil), dépassant Canopus et Arcturus. Elle fait partie de la catégorie des étoiles blanches (selon la classification du catalogue de l’astronome Pietro Angelo Secchi). Du fait de sa déclinaison, Sirius n’est jamais très élevée au-dessus de l’horizon depuis les latitudes tempérées de l’hémisphère nord. L’extinction atmosphérique atténue son éclat comparativement à Arcturus (Canopus étant elle, invisible depuis ces latitudes). Du fait de sa proximité et de son éclat, Sirius est une des étoiles les plus étudiées des astronomes et fut objet de plusieurs « premières », notamment la détection de son mouvement propre et de sa vitesse radiale. En lire plus…

La nuit de la bière Bhonus

Aujourd’hui, lorsqu’un fan traverse le terrain d’un stade de MLB, il est au minimum intercepté sans ménagement par la sécurité, voire même tasé. Mais Il y a quelques années, l’organisation de Cleveland eu une idée fameuse pour relancer l’audience dans son stade : une soirée où la bière coutait seulement 10 cents. C’était en 1974 et ça s’est passé le 4 juin. Et le résultat fur un gigantesque bordel. La moitié des fans s’est retrouvé sur le terrain en train de le piétiner et se battre avec les joueurs des Indians et des Rangers. On en avait déjà parlé sur Honus, et on lui avait déjà consacré un article en 2009 (rebooté récemment), mais comme on est bon avec vous, on vous offre dans cette section Bhonus, des photos inédites de l’évènement ainsi qu’une vidéo forcément rare et assez fantastique de cette fameuse "Ten cent beer night".

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La boue de Lena Blackburne

Si on en croît le site de la MiLB, les équipes de Major League utilisent entre 60 et 70 balles en moyenne par match. Avec 162 matchs par équipe, cela fait 2430 matchs en saison régulière, soit un total de balles utilisées en saison qui se situe dans la fourchette 150.000 – 175.000 balles.

Depuis la mort de Ray Chapman en 1920, les arbitres ont l’obligation de changer les balles dès qu’elles sont altérées, faisant passer le baseball de l’Ère de la Balle Morte (Dead Ball Era) à l’Ère de la Balle Vivante. Avant chaque match, l’équipe recevante doit avoir un certain nombre de balles mis à disposition pour la rencontre (actuellement, on parle de 90 balles en MLB). Ces balles vont être confiées aux arbitres qui vont les préparer.

Durant la Dead Ball Era, les frappes, la boue, la pluie, la poussière, les griffures faites par les joueurs et les substances (corporelles ou autres !) mises sur la balle illégalement par les joueurs, notamment les lanceurs, changeaient considérablement la balle la rendant imprévisible, plus difficile à voir… ce qui conduisit à la mort de Chapman. En lire plus…

Jim Creighton, la première superstar du baseball !

 

Sur Honus, nous avons maintes fois parler des injustices du baseball nord-américain, particulièrement dans les intronisations au sein du Hall of Fame, ou plutôt de ceux qui devraient y être et n’y sont toujours pas.

Jim Creighton n’échappe pas à la règle. Il est pourtant celui qui va donner naissance au baseball moderne, à celui que nous connaissons, ce baseball dont le lanceur est l’ultime vedette, celui sur qui tout repose. Car avant lui, le lanceur n’était qu’un donneur de baballe, pas plus important que nos machines à lancer d’aujourd’hui. Et dans bien d’autres aspects du jeu, il va devenir aussi le premier, The One, le pionnier du baseball d’aujourd’hui. En lire plus…

Catching Hell

 

Catching Hell, c’est le nom du documentaire de ESPN consacré à Steve Bartman. Steve Bartman n’est pas le nom d’un joueur de baseball professionnel. C’est le nom d’un simple spectateur d’un match des Chicago Cubs. Les lecteurs les plus anciens de Honus se rappelleront peut être du nom de ce lunetteux qui a eu la mauvaise idée lors d’un match de playoff en 2002 de tenter d’attraper une balle qui venait vers lui en fall ball. Bartman tend ainsi les mains vers cette balle qui se dirige vers lui. Le hic c’est que Moses Alou, le champ gauche des Cubs à l’époque, allait attraper cette balle et faire ainsi certainement un attrapé des plus spectaculaires. Enfin voilà, Bartman tend ses mains pour tenter d’attraper cette balle et celle-ci va être ainsi déviée de sa trajectoire…. Alou ne pourra donc pas attraper la balle. Ce qui pourrait être une histoire assez banale et se résumer finalement à une "interférence" d’un spectateur tourne cependant à un véritable incident. En effet, les Cubs étaient très proches d’une victoire dans cette série, et mêmes proches d’aller jouer les World Series et suite à l’épisode Bartman, les Cubs se sont avérés incapables de ne pas perdre le match. Bilan final, les Cubs prendront finalement 8 points dans la manche et verront leurs rêves de champions s’évanouir. Depuis 2002, les Cubs n’ont pas arrêté de chuter et au vue de cette dernière saison, ce n’est pas demain la veille qu’ils arriveront à jouer des playoffs. ESPN revient donc sur l’incident Bartman, un incident bien plus grave que prévu. En lire plus…

Tinker to Evers to Chance, le légendaire double jeu des Cubs !

These are the saddest of possible words:

Tinker to Evers to Chance.

Trio of Bear-cubs, fleeter than birds,

Tinker to Evers to Chance.

Ruthlessly pricking our gonfalon bubble,

Making a Giant hit into a double –

Words that are weighty with nothing but trouble:

Tinker to Evers to Chance.

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Earl Weaver la teigne

Vous l’avez peut être lu et vu : Earl Weawer nous a récemment quittés. Peu de français le connaissent, lui qui appartient à la génération des fameux coach des sixties, coach à l’ancienne d’un autre baseball, aujourd’hui bien disparu. Earl Weaver a été le manager coach des Orioles de Baltimore durant leur âge d’or, durant pas moins de 18 saisons (1968-1982), re-signant même pour un supplément en 1985-1986.  Honus revient rapido sur l’histoire de cette méga teigne. 

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La tournée au Japon de 1922. Premiers signes de tensions

Sur Honus, on aime bien les tournées américaines surtout celles au Japon, qu’on vous présente au fur et à mesure que l’on retrouve quelques rares photos. Après donc les tournées MLB de 1931 et de 1934, celle des Royal Giants des Negro League de 1927, voici un nouvel épisode des relations ô combien particulières entre les USA et le Japon : la tournée MLB de 1922 ! En lire plus…

Histoires tragicomiques des blessures en MLB. Chapitre II.

Continuons à explorer la partie plus tragique que comique de notre odyssée sanglante et fracassante dans le monde de la Disabled List avant d’embarquer pour une odyssée dans de non moins sanglantes et fracassantes histoires. Sauf qu’à ce moment-là, l’improbable s’alliera à l’inconscience voir à l’idiotie. Si, si ! L’idiotie ! Comment risquer sa carrière bêtement ? Vous ne savez pas ! Demandez à nos Major Leaguers, ils s’en sont fait une spécialité… En lire plus…

Histoires tragicomiques des blessures en MLB. Chapitre I.

Les blessures rythment une saison sportive avec la même importance que les choix tactiques du coach, les transferts, l’ambiance du vestiaire… La Major League Baseball n’y fait pas exception. Sa saison est rythmée par ceux qui vont-et-viennent sur la DL, la Disabled List, l’équivalent de l’infirmerie dans notre jargon sportif français. Ces blessures ont souvent un impact sur une équipe, amoindrissant sa performance, révélant un remplaçant, forçant à des changements tactiques. Mais, régulièrement, elles ont un impact sur le joueur blessé, ralentissant sa carrière, diminuant ses performances jusqu’à sa retraite (souvent forcée par la blessure) ou y mettant fin brusquement. Et, dans quelques rares cas, c’est tout un sport qui peut en être bouleversé. Elles sont parfois dramatiques. Et quelques fois, irrésistiblement drôles. Anodines mais d’une grande importance. Spectaculaires mais peu graves. Elles sont toutes, en tout cas, irrémédiablement liées à l’essence même du sport… quoique ? En lire plus…

Sivess ! Pete Sivess !

Honus vous a déjà conté l’histoire du célèbre Moe Berg, receveur en ligue majeure et espion à ses heures perdues. Si Berg était un joueur de baseball qui joua aux espions, Pete Sivess fut, quant à lui, un agent secret qui joua au baseball. Ces deux hommes partagèrent une carrière en Major League et une grande intelligence. Ils étaient tous les deux polyglottes. Mais l’un fut avant tout un joueur de baseball accompli quand le deuxième fut un agent accompli. Voilà la différence qui sépare les deux plus célèbres agents secrets du monde du baseball.

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Josh Gibson le « babe ruth noir »

C‘est la rediffusion sur une chaine française de l’excellent téléfilm de 1996 "Soul of the game" sorti chez HBO (et exploité sous divers titres en France, "La  couleur dans la peau" ou "Une équipe rebelle" en Dvd) qui m’a donné l’envie de vous conter un des plus grands regrets de l’histoire du baseball, ou des plus grandes injustices selon certains. En lire plus…

Gant de boxe et manche à balai : la naissance du Softball

Softball, fils du Baseball, petit-fils du Rounders et autres Thèques ou Schlagball, cousin au second degré du Cricket, grand frère du Wiffle Ball… Si on prenait le baseball comme point de départ d’un arbre généalogique, l’arbre serait bien fourni en branche. Et le softball aurait une place de choix, tant ce sport est aujourd’hui, dans le cœur des pratiquant-es, le pendant logique du baseball. Aux Etats-Unis, on se passionne pour le baseball, à travers la MLB -le Show-, mais on s’amuse au softball, le dimanche sur les terrains aménagés ou improvisés, autour d’un barbecue ou d’un pique-nique.

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Do not cross the Rio Grande !

Depuis toujours, le passionné de baseball professionnel s’émerveille de la rapide du lanceur, du home run du frappeur et du sens tactique du manager. Et parfois même, des analyses du journaliste sportif ou de l’émotion que véhicule le commentateur radio ou télé. Mais le sport est bien ingrat car de cette passion autour de l’athlète, de l’entraineur et de l’équipe, certains en sont écartés. Parfois même, ils sont malmenés. Qui sont-ils ces mal-aimés, ces oubliés ? Les arbitres ! Les scoreurs. ! Tandis que les Babe Ruth, Joe DiMaggio, Ken Griffey Jr et autres Brian Wilson évoluèrent ou évoluent encore dans la lumière, qui, si ce n’est le passionné avisé et connaisseur, pourrait citer le nom d’un arbitre ou scoreur de la MLB ? Et pourtant, sans eux, pas de jeu. Sans eux, pas de SHOW !

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Le jour le plus long…

Pour débuter l’année 2012, un récit assez incroyable vous est offert par votre blog préféré. On a tous trouvé quelque fois le temps long sur un terrain de baseball, mais il y a des matchs qui sont vraiment longs, et certains mêmes qui n’en finissent plus. Le match professionnel le plus long a été celui du 18 avril 1981,  entre les équipes de minor league de Pawtucket Red Sox et les Rochester Red Wings. Ca s’est passé dans le Rhode Island. Honus revient sur ce match hors norme qui aura duré pas moins de …… 8 heures 25 minutes pour 33 manches jouées !

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