
Makoto Sekine est un lycéen japonais comme tant d’autres. Il fait partie de l’équipe de baseball de son lycée mais celle-ci s’est faite éliminer de la course pour le Koshien. Une fois le lycée terminé, Makoto ne sait pas trop ce qu’il va faire.
A la même époque, la Mongolie, profitant de la chute du communisme, commence à s’ouvrir à l’extérieur. Le Japon lui vient en aide dans de nombreux domaines et, entre autres, finance la construction du premier stade de baseball du pays.
C’est dans ces conditions qu’une offre est proposée à Makoto : aller poursuivre ses études en Mongolie pendant 4 ans et y développer le baseball. Après une courte hésitation et malgré le fait qu’il n’ait jamais enseigné le baseball, Makoto décide de franchir le pas et de se lancer dans cette aventure.
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Si on en croît le site de la MiLB, les équipes de Major League utilisent entre 60 et 70 balles en moyenne par match. Avec 162 matchs par équipe, cela fait 2430 matchs en saison régulière, soit un total de balles utilisées en saison qui se situe dans la fourchette 150.000 – 175.000 balles.
Depuis la mort de Ray Chapman en 1920, les arbitres ont l’obligation de changer les balles dès qu’elles sont altérées, faisant passer le baseball de l’Ère de la Balle Morte (Dead Ball Era) à l’Ère de la Balle Vivante. Avant chaque match, l’équipe recevante doit avoir un certain nombre de balles mis à disposition pour la rencontre (actuellement, on parle de 90 balles en MLB). Ces balles vont être confiées aux arbitres qui vont les préparer.
Durant la Dead Ball Era, les frappes, la boue, la pluie, la poussière, les griffures faites par les joueurs et les substances (corporelles ou autres !) mises sur la balle illégalement par les joueurs, notamment les lanceurs, changeaient considérablement la balle la rendant imprévisible, plus difficile à voir… ce qui conduisit à la mort de Chapman. En lire plus…

Sur Honus, nous avons maintes fois parler des injustices du baseball nord-américain, particulièrement dans les intronisations au sein du Hall of Fame, ou plutôt de ceux qui devraient y être et n’y sont toujours pas.
Jim Creighton n’échappe pas à la règle. Il est pourtant celui qui va donner naissance au baseball moderne, à celui que nous connaissons, ce baseball dont le lanceur est l’ultime vedette, celui sur qui tout repose. Car avant lui, le lanceur n’était qu’un donneur de baballe, pas plus important que nos machines à lancer d’aujourd’hui. Et dans bien d’autres aspects du jeu, il va devenir aussi le premier, The One, le pionnier du baseball d’aujourd’hui. En lire plus…